Artiste
Patrick Folly
Couleurs et émotions
Présentation personnelle
Désireux de transmettre…de répondre à mes interrogations profondes, je débute la peinture chez GUY OBERSON, au cours du mercredi, le plus prisé !
« Je ne sais pas dessiner » ! Il n’y pas besoin de savoir dessiner pour peindre, l’envie suffit, ces premiers mots de Guy, était déjà un encouragement ! Son efficacité à transmettre sa passion et sa patience auront peut-être été les éléments déclencheurs décisifs…
Je me présente humblement comme un peintre autodidacte : j’explore, je tente, j’hésite, je me perds…Comment ne pas en faire trop, le trait qu’il ne fallait pas ajouter, une couleur peu mise en valeur, un contour mal négocié ! Prendre des risques, s’arrêter au bon moment, accepter la fin d’un duel avec la toile dont on ne sort pas forcément vainqueur : c’est cela aussi la peinture !
J’ai découvert la peinture tardivement, mais elle est devenue une évidence. Je peins sans prétention, par besoin de créer, d’observer, de ralentir. Mes toiles racontent mes balades, mes humeurs, mes silences. Avec une passion sincère et libre. Oser montrer que mon style, n’est pas encore totalement déterminé. Au fil des toiles, il évolue… La peinture n’a de limite que notre imagination…
En espérant que chacun trouve du plaisir à la découverte de chacune de mes toiles, à confronter la peinture à la réalité de ses sentiments, à répondre peut- être aussi à ses interrogations.
Je remercie Monsieur Loïc Odermatt et Coralie Folly pour la création et la mise en page de ce site internet.
Je vous souhaite une belle et agréable visite.
– Patrick Folly
Mon portfolio
Pour moi un tableau, doit être une chose aimable ,joyeuse et jolie , oui jolie ! Ce qu’il faut, c’est peindre vite, avec le cœur, comme un musicien improvise.
– Pierre-Auguste Renoir
Venez découvrir mes tableaux !
Mes œuvres chez vous !
Mon histoire
Qui fonce au volant de sa voiture en direction d’Yverdon ? Ce n’est plus Patrick, mais un autre homme qui a son apparence, qui s’est emparé du contrôle de son véhicule et de son corps, mais qu’il connaît malheureusement trop bien! C’est la seconde fois qu’il le côtoie; cependant, il ne peut lui faire confiance. Ainsi, il y a près d’un an déjà, ce manipulateur l’avait dirigé vers une voie sans issue.
A la vision du rond-point et du signal de déviation, il subit une véritable agression: un coup de barre métallique lui fracasse le dos. Une violente douleur sillonne sa colonne vertébrale, raidit sa nuque et explose dans sa tête, tout cela en une fraction de seconde !
– Ne regarde pas derrière, mais devant toi. Tu as décidé de partir, ne change pas d’avis. Vas-y ! …
Dans ces moments, il ne pense à personne. Sa seule préoccupation est d’échapper à l’échec qu’il ne peut accepter, de mettre de la distance entre son laboratoire, cause de son malheur, et sa personne qui s’autodétruit dans une lutte surhumaine…
